– 30 degrés, un vent glacial et une faune adaptée, l’hiver canadien teste la passion et la patience de tout photographe animalier. Mais quand au bout de 3 heures d’attente, vient se poser en haut d’une grange le Harfang des neiges, une vague d’émotion réchauffe votre corps et vous donne la force d’aller trouver l’Ours polaire le lendemain.